Titre : |
Ne lisez pas ce livre si vous êtes stupide |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Tibor Fischer, Auteur ; Marc Anfreville, Traducteur |
Editeur : |
10-18, DL 2005 |
Collection : |
10-18 |
Sous-collection : |
Domaine étranger |
Importance : |
286 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-264-03951-4 |
Prix : |
7,80 EUR |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Résumé : |
À en croire les personnages d'un Tibor Fischer plus cynique que jamais, Londres ne serait plus qu'un vaste champ de bataille, où pervers en tout genre et autres névrosés concourraient à gâcher votre journée. Mais, si vivre dans cette atmosphère est déprimant au possible, il semble hors de portée humaine de lutter contre elle, ou que vous vous trouviez : patron ruiné invité par des amis milliardaires sur la Côte d'Azur, jeune artiste résigné à se faire serial killer pour connaître le succès ou comédienne nymphomane obsédée par les pinces à épiler, tous ces ratés chroniques cherchent à combler le vide de leur existence en fonçant droit dans le mur. Relevé d'une pincée d'humour noir et pimenté à l'impertinence, c'est un vrai régal ! |
Ne lisez pas ce livre si vous êtes stupide [texte imprimé] / Tibor Fischer, Auteur ; Marc Anfreville, Traducteur . - 10-18, DL 2005 . - 286 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( 10-18. Domaine étranger) . ISBN : 978-2-264-03951-4 : 7,80 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Résumé : |
À en croire les personnages d'un Tibor Fischer plus cynique que jamais, Londres ne serait plus qu'un vaste champ de bataille, où pervers en tout genre et autres névrosés concourraient à gâcher votre journée. Mais, si vivre dans cette atmosphère est déprimant au possible, il semble hors de portée humaine de lutter contre elle, ou que vous vous trouviez : patron ruiné invité par des amis milliardaires sur la Côte d'Azur, jeune artiste résigné à se faire serial killer pour connaître le succès ou comédienne nymphomane obsédée par les pinces à épiler, tous ces ratés chroniques cherchent à combler le vide de leur existence en fonçant droit dans le mur. Relevé d'une pincée d'humour noir et pimenté à l'impertinence, c'est un vrai régal ! |
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